La dette de la ville de Béziers est constituée à 34% d'emprunts dits « toxiques » contractés auprès des banques DEXIA et Société Générale.
Contrairement à d'autres Maires et Président de collectivités territoriales, le sénateur-maire n'a pas voulu poursuivre ces banques indélicates en justice. Pourtant la victoire judiciaire contre les emprunts toxiques viennent de survenir : le tribunal de grande instance de Nanterre a annulé, vendredi 8 février, les taux d'intérêts considérés comme usuraires de trois prêts contractés par le Conseil général de la Seine-Saint-Denis auprès de la banque DEXIA. Ces taux d'intérêt seront remplacés par le taux d'intérêt légal en vigueur. La ville de Béziers a provisionné un million d'euros pour faire face aux dérapages des taux des emprunts structurés.
Raymond COUDERC va-t-il continuer d'engraisser les banques ou bien défendre les intérêts des contribuables biterrois ?
Aimé COUQUET, Conseiller municipal communiste
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